Former ou coacher, c’est accompagner l’humain. Et quand on accompagne, il est essentiel d’être soi-même accompagné.
La supervision n’est pas un luxe : c’est une hygiène professionnelle.
Elle permet de prendre du recul sur sa pratique, d’observer ses angles morts, ses réactions, ses croyances.
Dans la formation, ces prises de conscience évitent les automatismes et nourrissent la justesse andragogique.
Être supervisé, c’est aussi retrouver du souffle.
Parce que parfois, on doute, on s’épuise, on se questionne.
La supervision offre un espace de parole où le coach/formateur peut redevenir apprenant, explorer ses émotions et se reconnecter à son intention profonde.
Piste PotenSiel : la supervision n’est pas une remise en question, c’est une mise en croissance. Elle nous aide à rester alignés et vivants dans notre rôle d’accompagnant.