Le diplôme fédéral de superviseur-coach

J’ai obtenu mon diplôme fédéral de superviseur-coach !

« Le coaching c’est un effet de mode »

« C’est difficile une reconversion professionnelle »

« Avec les enfants, ça sera compliqué »

« Il y a trop de coachs, tu ne trouveras jamais de clients »

« Ce n’est pas un métier ça… »

« T’es folle de quitter une aussi bonne place de travail »

Et j’en passe…

Oui, le chemin a été sinueux

Oui, la route a aussi été extrêmement formatrice

Oui, j’ai hésité à arrêter à plusieurs reprises

Oui, cela m’a demandé beaucoup de patience (que je n’ai pas…)

Oui, j’ai persévéré

Oui, il y a eu beaucoup de réussites

Oui, il y a eu plusieurs expériences inattendues

Oui, ma passion pour l’être humain a été plus forte

Oui, aujourd’hui je m’épanouis dans ce métier

Rien n’est impossible.

En d’autres mots : Tout est possible !

Cela a nécessité beaucoup de travail, d’investissement, de temps et du sueur : après 3 années de lectures, de cours, de remises en question, d’auto-analyse, d’échanges, de supervision, d’intervision, de réflexions et d’écriture, je concrétise aujourd’hui un aboutissement : celui d’avoir obtenu mon diplôme fédérale de superviseur-coach !

Et je n’en suis pas peu fière

Dès lors, ce titre me permet de vous proposer du coaching professionnel et de la supervision avec cette légitimité supplémentaire. Je suis heureuse de poursuivre ce chemin qui est le mien en vous proposant ces types d’accompagnement dans un cadre sécurisé et bienveillant. En route vers une vie professionnelle épanouie!

Merci à ma binôme Sophie Tapparel d’avoir rendu la journée des oraux inoubliable et simplement idéale mais aussi à toutes les personnes qui m’ont «supportée» durant ces derniers mois particulièrement stressants et intenses.

Croyez en vos rêves et au fait de pouvoir être épanoui.e, d’une manière ou d’une autre, dans votre vie professionnelle!

Authentiquement,

Solenne

Le changement en coaching:

Aujourd’hui, un être haut comme trois pommes avait sérieusement besoin de se faire couper les pointes (des cheveux, je précise…) suite à des séances de démêlage longues et douloureuses et une contrainte extérieure (sa mère) ne lui laissait guère le choix. Sa première réaction fut un refus total de coopérer. En discutant, elle a bien compris que c’était un passage nécessaire pour sa tignasse qui en avait grandement besoin. Deux choix se sont alors offerts à elle : continuer à bouder ou modifier la situation jusqu’à ce qu’elle lui convienne, chose qu’elle a faite: Elle a alors décidé de couper 30 centimètres de longueur afin de les offrir à une société qui réalise des perruques pour les femmes atteintes du cancer. En prenant cette décision, cela lui a permis de mettre du sens à ce coup de ciseau en se sentant «utile» et d’être fière d’elle d’avoir tenté quelque chose de nouveau, d’avoir réussi à le faire! Et quel bonheur de voir cette confiance grandir dans ses yeux grâce à cette nouvelle expérience, certainement plus riche que ce qu’elle et moi aurions pu imaginer au départ…

• Oui le changement fait peur.
• Oui cette peur peut être appréhendée.
• Oui ce processus demande du courage.
• Oui cela est inconfortable (pendant un temps)

Le changement nécessite de passer d’un état «connu» à un état «inconnu». Ce parcours peut être perçu avec de la peur et tant que cette dernière est gérable, elle peut être considérée comme normale et faisant partie intégrante du processus. Elle peut même nous permettre de mobiliser nos ressources et ainsi se transformer en moteur, à travers le stress interne provoqué.

Tant que ce changement sera ignoré, nous prenons le risque de rester dans des stratégies dites négatives: Premièrement, se plaindre, blâmer autrui, subir la situation, se sentir impuissant et se déresponsabiliser de tout. Deuxièmement, l’obstination à poursuivre des stratégies inefficaces et/ou se responsabiliser pour des problèmes qui ne nous appartiennent pas. Troisièmement, l’évitement en occultant ses émotions et sensation, en fuyant, en bloquant ses pensées déplaisantes et/ou en s’éloignant des sources de stress.

Lorsqu’on a besoin d’un changement et qu’il a été identifié d’une manière assez précise (aller discuter avec sa hiérarchie, changer de travail, modifier sa façon de percevoir ses tâches professionnelles,…), il est alors possible de passer à l’action par différent moyen dit positif: d’une part, la modification de la situation, soit une augmentation de ses ressources et de ses capacités pour agir concrètement et/ou obtenir le soutien instrumental de son réseau social. D’autre part, un lâcher-prise à travers une acceptation de ce qui est, de la réalité, de son pouvoir et de ses capacités et finalement de ce que la vie nous offre de positif.

Une fois de plus, nous avons tous et toutes le choix de la stratégie à adopter, en fonction de nos besoins, nos priorités, nos ressources et bien entendu le contexte.

En changeant notre regard, toute la situation peut prendre une nouvelle couleur plus agréable à regarder et à vivre. Et ne perdons pas de vue que les craintes que nous projetons sur les modifications à apporter, sont bien au-delà de ce qui se réalisera vraiment.

Ses schémas sont applicables du plus petit changement au plus grand et quel que soit l’âge.

Et vous, quel processus de changement avez-vous mis en route récemment et pour lequel vous vous sentez fier.ère ?

Les croyances limitantes

Voici une vidéo avec quelques pistes de compréhension et de solution pour en faire quelque chose!

Si vous sentez que cela vous parle, vous interroge ou vous questionne, un accompagnement peut être une solution adaptée.

Mes limites et le coaching:

Avez-vous pris un peu de temps pour déconstruire vos limites et ce qu’elles vous empêchent de réaliser? Quelles places prennent-elles? Quel est leur poids? Que pourriez-vous faire si elles n’étaient paslà !? Quelle légèreté pourriez-vous en retirer ?

Le coaching peut être un accompagnement permettant ce type de questionnement et de réflexion…

Et si on faisait du tri… Coaching et métaphore:

Coucou le monde!

Ce soir j’ai envie de vous partager une expérience personnelle dont je n’aurai jamais imaginé parler ici…

Vous le savez peut-être, en coaching, le but c’est de se fixer concrètement des objectifs selon une politique des «petits pas» afin qu’ils restent accessibles, dans l’idée, entre autres, d’augmenter la motivation.

Cette semaine j’ai fait appel à L’Habit sur le cintre: dans un état d’esprit éco-responsable, je souhaitais avoir un regard extérieur sur l’intérieur (hehehe) de mon armoire, afin d’élargir mon champ de vision sur mes tenues, afin de les combiner différemment…

Et là boummm, grosse prise de conscience sur un parallèle très intéressant entre coaching et métaphore:

Tout d’abord, je me suis rendu compte qu’il s’agissait d’une sortie de zone de confort: en faisant appel à quelqu’un que je ne connais pas, qui rentre dans mon intimité et m’interroge sur mes habitudes en terme de comportements vestimentaires et me propose de les faire évoluer, donc de les changer… De réinventer des tenues avec toutes les ressources déjà existantes à l’intérieure de mon dressing.

Et de sentir une petite appréhension, associée à une grosse motivation! Mon dressing, ne serait-ce pas moi finalement? Et ne fait-elle pas, à un autre niveau, ce que moi je fais avec mes clients?

Ensuite, ce fut riche, intéressant et très agréable… se sentir soutenue par un regard bienveillant, efficace, authentique, sans jugement et avec beaucoup d’humour! Une épaule sur qui se reposer, car quand on a la tête dans le guidon (ici, dans son armoire), à force de voir toujours les mêmes vêtements, on perd un œil critique à leur sujet et il ne nous est plus possible d’en voir le potentiel s’ils étaient associés à d’autres accessoires…. (vous voyez où je veux en venir j’imagine…)

Tout comme nos comportements, émotions et réactions par exemple: Il suffit de peu de changements, parfois, pour réaliser les trésors que nous possédons. De temps en temps, il est aussi nécessaire de se séparer de certaines pièces, plus à la mode, usées ou qui ne nous vont simplement plus.

Alors si vous aussi vous sentez un élan à changer, évoluer et à aller de l’avant (ou juste avoir envie de faire encore mieux avec ce que vous possédez déjà️), ce type d’expérience est, l’air de rien, très porteur et bénéfique, je recommande fortement.

Joli investissement sur SOI-MÊME!

Période de transition

Petit moment suspendu

Cette période et ces jours, sont une transition.

D’une part, c’est une transition saisonnière : le soleil se fait plus discret, les jours raccourcissent, la pluie vient toquer à notre porte bien plus souvent et les températures baissent…. Pour ce dernier point, la transition a, d’ailleurs, été assez brutale!

D’autre part, cette transition saisonnière s’accompagne évidemment d’une transition corporelle et énergétique. Dis comme ça, ça sonne comme une évidence. Et pourtant…

Et pourtant combien de personnes et de clients je croise qui me disent à quel point ils sont fatigués et lassent de tout!

Arrêt sur image: notre corps transite lui aussi à travers ces changements et cela prend du temps. Soyez bienveillant avec vous-même. Accueillez cette transition qui se manifeste à travers de la fatigue, une motivation au ralenti, une envie de s’allonger sous une couverture, au chaud, et de ne pas faire grand chose… Juste prendre le temps…. De ne rien faire peut-être…. D’être là…

Bien entendu, ce n’est pas chose aisée que de s’octroyer la possibilité d’écouter tout cela et de l’accueillir en disant STOP à notre quotidien souvent bien (trop) remplit ! Essayez de poser votre stylo, de faire une pause, de temps en temps, et si cela ne vous est pas possible, acceptez juste le fait d’être dans une énergie un peu plus basse que ces derniers mois, votre corps vous en remerciera.

Nul besoin de toujours être dans un mouvement dynamisant, notre corps se prépare, comme la nature, à ralentir pour traverser les saisons à venir, apprenons à l’écouter et le respecter.  Comme toutes les émotions qui nous traversent et accompagnent ces changements, toutes ces périodes de transition que nous vivons si régulièrement, sans même nous en rendre compte… Prenons le temps de tendre l’oreille et d’être attentif aux signes que nous renvoie notre enveloppe physique. Toutes les informations sont là, sachons les percevoir…